La machine à cash de Véolia, j’ai nomme le SEDIF, s’apprête donc à rempiler pour 12 ans auprès de son cher et tendre. 12 ans de gestion saine et harmonieuse, comme en témoignent les surfacturations avérée d’au moins 40 millions d’euros annuels.

Le peuple francilien paiera le prix de cette félonie. Pour ma part, je ne laisserai pas le peuple dionysien à la merci du système Santini, système que d’autres ont appris à épouser.

Je ne laisserai pas la multinationale Véolia, qui je le rappelle se livre à des pratiques criminelles dans les pays du Sud (Amérique Latine, Afrique…) continuer de prospérer sur notre dos.

Je ne laisserai pas des actionnaires sans foi ni loi, spéculer au détriment de ce bien commun de l’Humanité.

Au nom du mandat que m’a confié la population dionysienne, je me battrai sans relâche pour une gestion publique, démocratique, écologique et socialement responsable de cette ressource indispensable à la vie.

J’exige en outre que le vote à mains levées soit le mode d’expression utilisé par les élus, seule façon de respecter les usagers, et le peuple.