Voilà que le pur produit de l’arrivisme issu de l’école socialo tendance basanée mais pas trop ose une sortie verbale en pleine campagne électorale.
Oui Fadela osé dire qu’il fallait, en bon toutou nettoyer l’insécurité au karcher. Elle a bien appris la leçon. Elle est entrée en Sarkozie pour les raisons que l’on sait : les dorures, briller, exister, bref, elle est allée ou le vent soufflait.
Elle brille pourtant par son patent échec sur son plan banlieue qu’on qualifie outre périph de faux plan. Elle est attendue plus qu’au tournant par celles et ceux à qui cette grande gueule a promis.
Voilà l’incarnation vivante de ce qui fait vomir en politique. Rien que le fait d’être dans ce gouvernement ultra xénophobe suffit pour prendre conscience que c’est l’alibi beur de Sarko, pas l’alibi de gauche, la ficelle est trop grosse, ou devrais-je dire la natte.
Bref, j’ai honte pour elle, pour ce que ce gouvernement inflige à tous, et notamment aux plus précaires qu’elle dit vouloir représenter.
C’est les soldes, alors Fadela, va te trouver une once de dignité, tu sais ce qui fait qu’un homme est un homme, qu’une femme est un femme, qu’on a des convictions, tout ça. Bref, tout ce que toi tu n’as finalement jamais été. Sans rancune, yo !